Une aventure d’équipe pour mieux accompagner le changement
Nous constatons souvent que l’accompagnement du changement n’est pas une compétence innée en entreprise !
Et pourtant les transformations s’enchaînent, se percutent, les « projets à impact » se multiplient. Et leur manque d’adoption et d’adhésion par les utilisateurs internes ou les clients peut coûter très cher.
Alors pour que les leaders de ces projets stratégiques puissent entrer dans la peau d’un acteur du changement, nous avons concocté un stage de 2 jours pour leur faire vivre une transformation.
Les 12 participants forment une équipe d’accompagnateurs du changement et interviennent sur l’île de Tracastel qui voit sa production de fruits menacée par l’usage du pesticide Plouc. Face à Gaétan le maire passif, Gwendoline la responsable de l’association des agriculteurs déchirée, Loîc le restaurateur ouvert, Erwan l’agriculteur progressiste, comment vont-ils accompagner cette transformation et permettre un changement rapide des pratiques?
Nous allons pas à pas découvrir la carte des alliés, la posture de facilitateur, la démarche ADKAR et le cadre « lean change management» pour leur permettre de relever ce défi.
Avec l’aimable contribution de Grégory Alexandre pour l’ambiance bretonne 😉
Quand utiliser cette posture et ces méthodes ?
Une réorganisation qui tombe, ce sont des réactions très diverses dans les équipes, allant de l’absence de réaction, jusqu’à l’anxiété, le stress, la déprime, la peur de perdre quelque chose ou encore la colère qui peut générer une opposition active au changement.
Il en va de même pour beaucoup de virages-événements- nouveautés qui viennent bousculer notre quotidien en entreprise : une nouvelle solution digitale pour travailler (CRM, application métier), une nouvelle règlementation, une nouvelle démarche qualité (SRE pour les équipes IT par exemple), un pivot vers de nouveaux métiers, de nouveaux processus, une fusion entre équipes, etc.
Ces changements sont pour la plupart menés comme des projets, dont le pilote et l’équipe sont focalisés sur les livrables, le planning la mise en œuvre de l’outil ou la nouvelle organisation.
Quid de la vitesse d’adoption ? L’adhésion des équipes ? La capacité à remettre en question l’existant pour adopter de nouvelles pratiques ?
Mince, ces critères ne font pas partie du tableau de bord !
Et pourtant c’est bien un double projet qu’il faut conduire : un projet de « delivery » ET un projet de changement. Chacun ayant ses défis, ses livrables, sa méthode et ses indicateurs.
Et ça nécessite un peu d’entrainement 😉